Des échos de morse sur la cuve de cuivre
Le majordome attend à la marge des hommes  
Esprit morcelé dans son monde pieux si terne
Arbitre divin qui s’exclame À mort les rats 
L’étrange citerne est d’eau et d’or et d’offrande
Comme la bosse inépuisable du chameau
Fourrée de sang ou de charbon noir rituels
Pour mettre un mors à l’humanité décadente
Et le château en ruine sur la haute berge
Sert d’auberge à tous les malheureux sacrifiés 
Serre les prisonniers dans le hameau damné
Le messager transmets ses signaux aux complices
Œuvrant dans l’ombre son ombre et l’ombre d’eux-mêmes  
Au monde des mortels s’oppose la croyance 
Ce juge esclave des cieux demeure impuni
L’ordre réac envoie un ordre à ses guerriers 
Le juge adverse expand alors son fer de lance
Et la jurisprudence en est plus extensive
Où il n’y a pas d’ordre mais un autre sens
Où il y a de l’ordre mais où nul ne l’encense 
Aucune ascension au tribunal hérétique
La descente aux enfers lors du jugement froid

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